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Les copains de quartier...

Et bien sur, je ne vais pas oublier les copains qui n'ont pas étés a l'école avec moi!(du moins dans ma classe)

Je me rappelle de:
- Christian Tomé et son frère Guy (St.Front)
- Jean-Claude Guichard (rue Aubergerie)
- Nicole, Christian et Filippe Boyer (rue Aubergerie)
- José Marta (St.Georges)
- Antonio Alves (Atur).
- Filippe Duarte (Perigueux)
- Christine, Marie-line et Monique Teyssou (Le Suchet)
- Philippe Lalot(Coulounieix Chamiers)
- Sylvie Legoff (grand-puy-bernard)


Copains contactés:
- Christian Tomé. (responsable secteur grande superficie)
(C'est Christian qui m'a retrouvé par "copains d'avant")
- Filippe Duarte. (???)
(Il m'a contacté par "Trombi")
- Nicole Boyer. (fonctionnaire de l´État)
(retrouvée par téléphone)
- Adeline Dias (rue Aubergerie) et (copine de classe a Clos-Chassaing)
(retrouvée avec copains d'avant)
- Lio et Higino Marcelino (rue Aubergerie)
(retrouvés avec copains d'avant)
- Guy Tomé (informatique au Brésil)
(retrouvé grâce a son frère Christian)
- Christine Teyssou (fonctionnaire dans le privé)
(abc-photo de classe)
- Marie-line Teyssou (?)
(aussi retrouvée avec abc-photo de classe)
- Carlos Marta le frère de José. (peintre auto a Périgueux)
(retrouvé sur copains d'avant)
-José Marta (construction civile et ornementation jardins en Belgique)
(retrouvé grâce a son frère Carlos)

Souvenirs...

- Christian Tomé et son frère Guy.
-Nous étions les inséparables du bas Saint-Front!!!, j'avais entre 10/12ans.
Les terreurs du quartier Saint-Front, de la Cheu-Cheu avec ses fameuses douches de seau lancées de son 3ème étage (je ne vous dirais pas de quoi!!!).

Les photos qui suivent ont étées prises par Mr, Jean-Pierre Roche (JiPR) en 1973, et qui m'a autorisé a les poster ici. Á gauche, on voit la façade Est de l'hotel Salegourde, oú j'abitais a l'époque, le d'etail du petit escalier´qui menait a la tour, et qui au printemps se remplissait de nids de pigeons...
A droite, une photo des autres maisons de la rue Saint-Roch, mais vues de derrière.
Un petit détail qui m'a donné un froid dans le dos, on voit dans la partie inférieure de la photo une personne derrière la palissade... La Cheu-cheu!

                                      

On voit aussi une zone noire dans le mur en dessous de la palissade... Serait-ce déjá le fameux tunel que nous avons creusé? Peut-être avons nous presque étés surpris en flagrant délit... J'en ai encorre des frissons. (Pas vrai Christian?)

Un grand merci à Mr. Jean-Pierre Roche pour ces magnifiques photos.
-Il y avait de nombreuses batailles de pétards au jardin du Thouin (la place adjacente aux cloitres de l'église Saint-Front), je me rappelles que une fois, j'étais avec Christian et Guy, contre d'autres de notre age. A un moment, ont entend une grande pétarade et on voie Guy qui court dans tous les sens, larguant des pétards de tout coté. Il avait accroché un grand sac plein de pétards a la ceinture, et un des pétards lancé par les autres gars tombé dedans! On aurai dit le défilé d'un dragon chinois, avec pétarades, cris et rigolade. Heureusement il ne s'est pas brulé, mais ses pantalons..., ne parlant pas de sa mère le soir même!!!
Nous faisions aussi des cabanes dans les tilleuls du jardin du Thouin (la petite place qui a les deux canon tournés vers l'Isle, on plaçais des pétards avec mèche a retardement dans les "crottes" de chiens, et on se défilait ensuite!!!
-Les Sœurs de Saint-Front, qui nos courraient après pour cause des pétarades, (et la cuisinière avec sa louche qui m'a attrapé!!!)
-Mais oui! il avait l'air tout sage sur les photos le petit Telmo...
-Les courses de planche a roulettes (le précurseur du skate!) sur les rues les plus inclinées de Périgueux. Il suffisait de prendre une planche, clouer un patin a roulette complètement fixe a un bout de la planche, et de l'autre, fixer l'autre patin, mais seulement avec un clou au centre, de manière qu'il puisse servir de direction.
-Le tunnel jusqu'au centre du jardin de la Cheu-cheu, oú elle s'est enterrée jusqu'à la ceinture quand elle nous a couru après...
-Les voyages en bateau gonflable sur l'Isle jusqu'à Campniac, la jour où un crochet de pêche nous a crevé le bateau en plein milieu de la rivière!, les uns ramaient le plus fort possible, les autres tentaient souffler de l'air dans le bateau pour ne pas couler, ma sœur criait, les gens nous regardaient, mais nous avons réussi a regagner la marge sans nous mouiller!!!
-La pêche aux écrevisses au moulin Cachepur, les sacs de châtaignes que l'on ramassait dans les bois, les grandes randonnées a pied...
-Nous avons aussi visité toutes les grottes dont nous avions connaissance, les caves des anciennes maisons abandonnées,nous étions les spéléologues
-Nous nos levions tôt le Dimanche pour allez a la piscine jusqu'au midi. C'est quand j'ai appris a nager,
a grande gorgée d'eau, mais au bout de quelques temps, je plongeais du 3 mètres, et je faisais la piscine entièrement sous l'eau! Notre jeu préféré, lancer une monnaie au fond de la piscine, sans voir où elle est et plonger pour la trouver avant les autres. En ce temps là, l'entrée coutais 50 centimes (de Franc en 1975).


- Nicole Boyer et ses frères.
Ma voisine de devant, et comparse de jeux! (un clin d'œil suffisait...)
Après les devoirs d'école, le rendez-vous de détente!!!
Nous nous retrouvions tous, au coin de la rue des Français! ...

Je me rappelle d’un jeu de balle, a trois, Nicole, moi et une voisine, juste un peu plus vieille que nous, dont je ne me rappelle pas le nom (elle habitait chez sa grand-mère, rue des Français).
A cette époque, la minijupe plissée était très en mode, et notre voisine en avait une assez courte, et chaque fois qu’elle essayait d’attraper la balle, sa jupe se soulevais et découvrait son derrière. Je crois encore quelle n’avait pas de culotte, et Nicole aussi s’en est aperçu. Et le problème commença ainsi. Les gosses (que nous étions, Nicole et moi) ont commencé a dire « elle a pas de culotte, elle a pas de culotte...»
Je ne vous dis pas comment elle s’est senti en ce moment là. Elle s’est défendue disant que c’était des culottes transparentes, mais qui est-ce qui taisait ces morveux que nous étions...
Elle s’est enfuie chez sa grand-mère, et nous l’avons plus jamais revue.
J’espère qu’elle nous a pardonné, (qu’est-ce que l’on peut être vraiment con a cet age...)
Mais ce sont des choses de la vie, et c’est seulement avec l’expérience que nous apprenons.

- Sylvie Le Goff, Mon père avait des relations professionnelles avec le père de Sylvie, et j'allais beaucoup de fois avec lui chez eux, ou je jouais avec Sylvie. Je me souviens plus précisément d'un jeux de magie, dont j'adorais voir les trucs. Des petites choses comme ça, mais qui laissent des marques...

- Jean-claude Guichard, voisin de devant, rue Aubergerie, enfant très gâté, il venait jouer avec un caisson de jouets, mais ne laissait personne jouer avec lui! Imaginez les taquineries que nous lui avons fait!!! Il oubliait toujours des jouets sur les trottoirs, et nous les gardions pour jouer après.
On les lui rendais toujours, quelques jours après, ce qui le rendait encore plus
énervé!!! Mais en dehors de son humeur un peu compliqué, il était un bon copain aussi!

- José Marta et Antonio Alves. Ces deux cousins ont fait parti de mes amis, j'avais 17/18ans.
Ils sont originaires d'une petite ville a quelques kilomètres de la ville où je vis actuellement, ici au Portugal.
Ils m'ont accompagné sur la fin de ma récupération de mon accident, quand j'utilisais encore les béquilles. (Je raconterais aussi le passage de mon accident de pétrolette, j'avais 16 ans).
Avec Eux, j'ai commencé a allez au bals (du samedi soir) et aux fêtes de la communauté Portugaise.
On a passé pas mal de choses ensemble, et nous étions comme des frères.
Nous avions un grand cerisier dans notre jardin aux Maurilloux, qui donnait de merveilleuses cerises bien rouges et très sucrées. Quand je rentrais de classe, j'y grimpais, seulement quand j'avais le ventre plein, ainsi que un sac, je redescendais. Ce cerisier donnais vraiment beaucoup de fruits, et José venais en chercher aussi pour sa famille. Un jour, il a grimpé sur un escabot que nous avions, mais en dehors de la palissade, au font du jardin, où il y avait un terrain vague, plein de plantes épineuses. L'escabot a fini par s'enterrer d'un coté et José est tombé même dans ces plantes! Il a presque falut une grue pour le retirer de lá, tout écorché le pauvre!
Mais je crois qu'il a mangé des cerises quand même ce jour là!

- Adeline Dias, Une copine de toujours! Mais comme je suis né un ou deux ans trop tard...
Nous nous sommes retrouvés a Clos-Chassaing, elle était dans une autre classe, mais nous nous retrouvions en cours de Portugais, avec Maria Pereira, Conception Goncalves(???), Je ne me rappelles plus du nom de la prof(pardon!!!), mais avec les retrouvailles avec Adeline, je suis sûr que je vais les retrouver!
Et tant de bons souvenirs, le voyage au Portugal fait avec les classes 3ème de Clos-chassaing et Laure Gatet. Domage que je n'ai pas de photos de ce voyage...

- Higino Marcelino, habitait dans le même édifice que Adeline. Pratiquement de même age, nous jouions ensemble dans les rues du quartier Saint-Front.

- Lio Marcelino, la sœur de Higino, c'est avec elle que j'ai commencé a me promener avec mon mini-vélo rouge. Comme elle était quelques années plus âgée que moi, mes parents m'autorisaient a aller plus loin dans mes petits tours en vélo!

- Christine Teyssou.
C'est dans l'un de ces petits bals du Samedi soir que j'ai rencontré Christine, sa cousine Monique, et leur amie Chantal Marty.
On s'est accompagné durant deux ans, (il y a des choses qui content plus au cœur, qu'a la tête. C'est pour cela que je garde avec grande émotion ces souvenirs, comme si c'était hier...) mais que Christine a influencé ma vie, oui. Sa douceur, sa simplicité, un cœur énorme comme ça! et en même temps une volonté si forte, si tenace, prête a aller au bout du monde, s'il le faut, pour réaliser ses rêves...
J'ai connu d'autres amis aussi, copains de Christine: Philippe Lalot et ses copains (qui habitaient au pont Saint-Georges), et beaucoup d'autres dont je ne me rappelle pas le nom.

-En Aout 1983, je suis revenu au Portugal. J'espère que Christine ne m'en veux plus maintenant. Je sais que ça a été une époque très difficile pour elle, (et sa famille). Le destin nous oblige quelques fois a prendre des décisions que parfois, nous savons que elles vont blesser quelqu'un qui nous est cher, mais pour le bien ou pour le mal, nous sommes obligés de les prendre. La vie a des choses comme ça, c'est triste mais on ne peut rien y faire! Un gros bisou pour elle et pour le reste de la famille!

Il y a des choses qui ne soublient plus jamais, et de temps en temps, au hasard de la vie, certaines choses ou évenements font revivre certains passage de nos vies d'il y a bien des années.
Une simples soupe de poisson, assez bien épicée, et je me retrouve au "Relais de Lesparat" un soir du mois de Juin de 1983, a dîner avec Christine.
Le dernier dîner.
Nous avons laissé la voiture sur le parking a coté du passage sous le chemin de fer, et nous sommes entrés par la petite porte qui donnais directement dans la salle du restaurant.
Une ambiance rustique, avec des petits abat-jours fixés aux murs difusant une lumières chaude et tamisée. Je crois qu'il n'y avait personne dans la salle, et nous avons choisi une petite table, presque au fond de la salle, du coté droit, sous l'un des abat-jours.
On a été atendus de suite, et nous avons demandé une soupe de poisson. "La soupe de poisson" avec du petit pain grillé froté a l'ail, acompagné de promesses, d'espérances, de regrets et de larmes.
Je suis parti pour le Portugal le lendemain matin.
--


Je revis encore ces moments, comme si c'était hier.




3 commentaires:

  1. Salut tout le monde!
    Et bien voilá, les vacances sont finies, et nous revoilá pratiquement tous de retour au boulot!
    Ça fait quelques temps que je viens pas sur mon blog, mais je suis enfin de retour.
    Aujourd'hui, j'ai parlé avec Christian Tomé au telephone, on a parlé de son frère, Guy, avec lequel j'ai pratiquement refait contact via internet, par l'intermède de Trombi, mais comme nous ne sommes pas des "Premiums" vu que ici au Portugal comme au Brésil, c'est pas la joie de payer pour ça!
    Enfin, on va sûrement se mettre en contact trés brêvement!
    Les souvenirs reviennent toujours plus quand on est plusieurs a se rappeler!
    Le quartier Saint-Front, avec ses personnages hors du commun...
    La Cheucheu, la Lulu et la Sautiquette, (t'as pas cent balles?) qui ne s'en rappelle pas???
    A+

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  2. Bonjour a tous!
    Et bien voilá, je cherche, je cherche mais ça fait pas mal de temps que je ne retrouve personne!
    Si quelqu'un connais Jean-claude Guichard, qui vivait rue Aubergerie dans les années 70, donnez lui de mes nouvelles et dites lui de me contacter.

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  3. Salut a tous!
    Hier j'ai reussi a me rencontrer avec José et Carlos Marta, ils étaient en vacance chez eu a Águeda, une ville a quelques 20 kms de chez moi.
    On a conversé un peu et bu une bière, et bien sur, pris une photo, que je posterais bientôt dans un nouveau message.
    A+

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